Tandis qu'en France la presse papier tente à disparaître, et cela me navre énormément, surtout la presse quotidienne, laissant place au virtuel, et aux potins people, en Egypte, il m'est plaisant de voir les gens (surtout les hommes) lire leur journal toute la journée, s'informant ainsi de ce qui se passe dans leur pays et dans le reste du monde.
Ce qui ouvre ensuite la discussion sur la terrasse des cafés.
Au Caire, en me promenant, je suis passée dans la rue où un magnifique bâtiment n'est autre que le Syndicat des Journalistes.
Je défends la presse écrite, pour des raisons familiales aussi (...), pour que le lecteur laisse de côté certaines lectures sans intérêt pour une lecture "intelligente", et défends la liberté de la presse par la même occasion.