Je n'ai jamais utilisé cette photographie par le fait de son manque de netteté, cependant elle me chagrine.
En effet, je me trouvais sur la berge à felouques en contrebas de la corniche à Louxor, lorsque j'ai surpris ces pierres d'époque pharaonique (il n'y a aucun doute là-dessus, car elles ressemblent à celles du temple de Louxor).
Cela ressemble étrangement à un passage, un couloir, une allée, qui viendrait du côté ouest du temple de Louxor qui se trouve juste de l'autre côté de la route.
Je ne sais fichtre pas pourquoi ces blocs n'ont pas été ensevelis par les terrassements de la berge ?
Une idée alors me caresse l'esprit : Et s'il s'agissait de l'endroit où les barques royales et du dieu Amon accostaient, entre autre, durant la fameuse Fête d'Opet ? Peut-être même que c'est par ici que l'on déchargeait les bateaux de leurs chargements de nourritures, d'encens, etc.. Tout ce dont les prêtres avaient besoin pour vivre dans leur lieu Saint ?
Devant mes interrogations de passionnée, j'en appelle aux visiteurs diplômés en Egyptologie à nous éclairer sur ce point.
Sylvie B.
En effet, je me trouvais sur la berge à felouques en contrebas de la corniche à Louxor, lorsque j'ai surpris ces pierres d'époque pharaonique (il n'y a aucun doute là-dessus, car elles ressemblent à celles du temple de Louxor).
Cela ressemble étrangement à un passage, un couloir, une allée, qui viendrait du côté ouest du temple de Louxor qui se trouve juste de l'autre côté de la route.
Je ne sais fichtre pas pourquoi ces blocs n'ont pas été ensevelis par les terrassements de la berge ?
Une idée alors me caresse l'esprit : Et s'il s'agissait de l'endroit où les barques royales et du dieu Amon accostaient, entre autre, durant la fameuse Fête d'Opet ? Peut-être même que c'est par ici que l'on déchargeait les bateaux de leurs chargements de nourritures, d'encens, etc.. Tout ce dont les prêtres avaient besoin pour vivre dans leur lieu Saint ?
Devant mes interrogations de passionnée, j'en appelle aux visiteurs diplômés en Egyptologie à nous éclairer sur ce point.
Sylvie B.