Les Cyclades - Arrivée à Santorin - 10 septembre 2023

Dimanche 10 septembre, décollage de Marseille Provence à 18h30. À 22h25 heure locale, l'avion de Volotea atterrit sur le tarmac de l'aéroport de Thira (Santorini). Le vol dura 2 heures 55, sans retard à l'embarquement.
L'aéroport de Thira est petit, propre, au sol de marbre.
Le bagage récupéré, à l'extérieur un autocar récupéra les quelques voyageurs, dont cinq déposés à l'hôtel Kalma dans la ville de Messaria.
Cet hôtel 3* est convenable.
Le temps de récupérer la clef de ma chambre, un jeune homme porta ma valise jusqu'à ma chambre.
Vu l'heure, un plateau avec fromage, tomates cerise, feuilles de vigne, une pomme avait été déposé dans le petit réfrigérateur. Sur la coiffeuse, du pain, une banane, deux petites bouteilles d'eau étaient posés.
Le temps de me restaurer, le sommeil me gagna.

Lundi 11 septembre 2023, à 7h30, je fus déjà debout. La nuit fut courte, j'eus des difficultés à m'endormir. Après le petit déjeuner, je fis un tour d'inspection de l'hôtel, charmant, avec sa piscine, ses façades blanches, ses volets et barrières de balcons bleu turquoise. Le charme grec.
Le vent du Nord commença à se réveiller et prit de l'ampleur progressivement. Les Cyclades ont toujours été fouettées par ce vent colérique. La chaleur progressa rapidement.
Je fis connaissance des personnes du groupe - une bonne vingtaine - fort sympathiques ; nous allions passer cette semaine ensemble.
Afin de tenter de me "réveiller", je fis une petite marche dans Messaria.
À midi, l'autocar devait arriver pour nous conduire au port mais la réceptionniste de l'hôtel nous informa qu'il y avait du retard à cause du vent. En effet, on vint nous chercher à 15h.
Le bateau faisant la traversée de Santorin vers Paros n'avait pas la robustesse pour prendre la mer déchaînée.
Le trajet de Messaria au port fut très rapide. La route descendante très sinueuse et étroite demanda de la dextérité au chauffeur expérimenté. En chemin, j'observai les parois de la caldeira. Les différentes strates m'impressionnèrent et au sommet, la large couche blanche de pierres ponces.
Arrivés sur le port, une jeune femme d'Héliades nous demanda de patienter dans une grande salle sur le port, le temps de remplacer nos billets par ceux du gros et grand ferry.



















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Sylvie Barbaroux • Romancière
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